L’olfactothérapie scientifique : le pouvoir olfactif des huiles essentielles – Actuel Nouvelle-Calédonie

L’olfactothérapie scientifique : le pouvoir olfactif des huiles essentielles

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L’olfactothérapie s’appuie sur la richesse incomparable des huiles essentielles, qui concentrent toute la puissance de molécules olfactives des plantes dont elles sont issues.

Certaines fragrances apaisent, d’autres stimulent, certaine odeurs rassurent, encouragent, inspirent le bien-être et le calme intérieur, ou même encore, la joie, l’accueil, la douceur.

Les connaître, les reconnaître, savoir les employer à leur juste valeur en fonction de nos besoins, c’est s’assure d’avoir toujours à ses côtés des alliées contre le stress, l’anxiété, les insomnies, les coups de fatigue ou même la dépression. Et c’est aussi savoir créer chez soi, pour soi et les siens, des atmosphères saines, apaisantes, stimulantes ou accueillantes, au gré du quotidien.

Le pouvoir olfactif profond des huiles essentielles

L’odorat est un sens indispensable pour percevoir pleinement son environnement : c’est la place qu’il occupe dans le cerveau humain et son fonctionnement même qui explique sa puissance. L’OLFACTOTHÉRAPIE repose sur ce pouvoir des senteurs. Car le nez, l’olfaction, les fragrances d’huiles essentielles de qualité offrent d’infinies possibilités pour agir au plus profond de nos structures cérébrales et de toutes les fonctions qui en dépendent. Sans que l’individu ne puisse y résister, puisque l’air que nous respirons est le véhicule de ces fragrances aromatiques.Il faut essayer pour s’en rendre compte. Quelques gouttes d’huiles essentielles dans un diffuseur, et voilà les inspirations profondes, les nœuds qui se dénouent, la tension dans le thorax qui diminue, le corps qui, petit à petit, trouve le chemin de la détente. Une vague de paix déferle, douce comme un temps suspendu.

L’odorat dans le cerveau des émitions

Les messages olfactifs sont traités dans notre système limbique, qu’on appelle parfois notre « cerveau émotionnel ». C’est dans le système limbique que se trouve l’amygdale, une région cérébrale directement impliquée dans le traitement de nos émotions, et l’hippocampe, impliquée dans le fonctionnement de notre mémoire.
Et parce que l’acuité de notre odorat est moins développée que celle de nos autres sens, notre cerveau compense : pour mémoriser une odeur, il l’associe aux émotions, au contexte dans lequel nous l’avons sentie. C’est toute la force du pouvoir évocateur des odeurs.

Lorsque nous percevons de nouveau un parfum précis, notre mémoire réactive en même temps le souvenir de l’état émotionnel qui était le nôtre lorsque nous l’avons rencontré auparavant. Et ce sans passer par l’analyse : cet effet « madeleine de Proust » est quasi instantané. Et mieux encore, le souvenir ainsi ravivé réactive tous nos sens. Par l’odorat, notre mémoire accède aussi aux images, aux sons, bref au décor complet dans lequel le souvenir s’est créé.

La puissance des huiles essentielles au service de la santé et du bien-être

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’utiliser les effets des senteurs sur notre cerveau à des fins thérapeutiques. L’olfactothérapie à base d’huiles essentielles est utilisée par exemple pour aider des personnes victimes de traumatisme crânien à retrouver la mémoire, en ravivant des souvenirs, des images, des évocations. Elle est également utilisée pour atténuer les effets secondaires des traitements contre le cancer, ou pour aider les patients à se relaxer.
Il faut essayer pour s’en rendre compte. Quelques gouttes d’huiles essentielles dans un diffuseur, et voilà les inspirations profondes, les nœuds qui se dénouent, la tension dans le thorax qui diminue, le corps qui, petit à petit, trouve le chemin de la détente. Une vague de paix déferle, douce comme un temps suspendu.

Les messages olfactifs sont traités dans notre système limbique, qu’on appelle parfois notre « cerveau émotionnel ». C’est dans le système limbique que se trouve l’amygdale, une région cérébrale directement impliquée dans le traitement de nos émotions, et l’hippocampe, impliquée dans le fonctionnement de notre mémoire.
Et parce que l’acuité de notre odorat est moins développée que celle de nos autres sens, notre cerveau compense : pour mémoriser une odeur, il l’associe aux émotions, au contexte dans lequel nous l’avons sentie. C’est toute la force du pouvoir évocateur des odeurs.
Dans de nombreux établissements de soins, la diffusion d’huiles essentielles est non seulement une alliée pour lutter contre les odeurs désagréables, mais aussi pour apaiser, réduire l’anxiété, voire contribuer à diminuer les sensations de douleur.
Des EHPAD les utilisent également pour assainir l’air, en prévention d’infection respiratoire, ou encore pour gérer l’agressivité de patients souffrant de démence.

N’hésitez pas à demander conseil à votre pharmacien… 

Source : Laboratoire Pranarôm

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